DU PAIN, DU VIN, DU DOURSAT…

Quand le journal Sud Ouest ajoute sa sauce magique à la cacophonie d’un président de club de rugby, mais que la mayonnaise ne prend pas…
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Dom Einhorn

Le récent article publié dans le journal Sud Ouest le 12 mars 2024 dernier (et redistribué sur les réseaux sociaux) nous rappelle une citation de Henri Béraud : « Le journalisme est un métier où l’on passe la moitié de sa vie à parler de ce qu’on ne connaît pas, et l’autre moitié à taire ce que l’on sait. »

Boris Rebeyrotte, « l’auteur » de cet article – un terme qui nous paraît plus approprié que celui de « journaliste » – interviewe M. Adrien Doursat, chef d’entreprise sarladais et président du CASPN, le club de rugby local, et offre à ce dernier un tremplin unilatéral avec pour objectif de détruire la crédibilité d’un certain Dominique EINHORN, qu’on ne vous présentera plus.

À noter que M. EINHORN n’a jamais été contacté par l’auteur de cet article. Le droit de réponse ne semble donc pas intéresser le journal Sud Ouest.

« Il est difficile de ne pas sourire à une telle tentative de manipulation de l’opinion publique » affirme D EINHORN. « Non seulement la vraie motivation derrière la publication de cet article unidirectionnel me laisse perplexe. D’autre part, si certains individus souhaitaient s’incriminer davantage, c’est maintenant chose faite : les déclarations de l’auteur de l’article ainsi que de la personne interrogée sont on ne peut plus convaincantes ! »

D EINHORN poursuit sa réplique en passant au crible ce qu’il considère comme des mensonges de la part d’Adrien DOURSAT :  

« Je ne connais pas [Dominique Einhorn], assure Adrien Doursat. »

M. Rebeyrotte reprend cette phrase en refrain, sans poser de questions supplémentaires à l’intéressé. Peut-être que le rédacteur ignore également l’article en date du 16/09/2021 publié par le même journal qui l’emploie, et dans lequel M. DOURSAT apparaît (souriant) aux côtés de M. EINHORN ? Le fait est que M. DOURSAT faisait partie du comité directeur du CASPN, présidé par Dominique EINHORN. 

Capture d’écran de l’article du Sud-Ouest publié sur Google News…

EINHORN a gauche et DOURSAT troisième en partant de la droite.

Dixit l’article : « Une réunion a été organisée au siège de la société UNIQORN de Dom Einhorn, avenue de Selves, début août. Autour de la table, il y avait les membres restants, Einhorn lui-même et cinq autres candidats à l’entrée au comité : Jean-Luc Menchon, Guillaume Ferchaud, chef de l’entreprise Publiman à Cénac, Antoine Guinot, restaurateur à Sarlat, François Bourgeois, courtier en assurances et Adrien Doursat, chef d’une entreprise de charpentes métalliques à Marcillac. Les trois derniers sont bien connus pour avoir porté les couleurs du club. À l’unanimité, Einhorn a été élu président du CAS-PN. »

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Adrien DOURSAT aurait donc élu à la présidence du CASPN, un homme qu’il ne connaît pas et qu’il côtoyait régulièrement à Madrazès, en ville ainsi que dans les bureaux d’UNIQORN… Cela en dit long sur la crédibilité de l’individu ainsi que sur ses motivations sous-jacentes, selon EINHORN.

« Le motif : l’utilisation de maillots qu’il avait payés lorsqu’il était aux commandes du CAS. »

L’utilisation illégale des maillots figure bel et bien dans l’assignation qui vise le CASPN et plus particulièrement DOURSAT, en nom propre. Mais cet élément ne représente qu’une virgule d’après D.EINHORN, dans un dossier d’assignation avoisinant 700 pages, et étoffé d’un procès-verbal de constat de 652 pages.

« Je pense que les assignés n’ont pas forcément compris le message. S’ils ont du mal à se souvenir de ma personne, forcément ils auront du mal à se souvenir de leurs actes, aussi délictuels soient-ils » renchérit EINHORN. 

La plainte déposée devant le tribunal de commerce de Paris repose sur un argumentaire extrêmement étoffé (130 points démontrant un parasitisme systématique) et demandant au Tribunal de condamner l’association CASPN et Monsieur Adrien DOURSAT à un montant en réparations avoisinant €700 000.

Les éléments probants de l’assignation démontrent notamment :

1. Les actes parasitaires commis par l’association CASPN et Monsieur Adrien DOURSAT.

2. La volonté délibérée de nuire du CASPN et de son dirigeant Monsieur Adrien DOURSAT.

3. Les agissements parasitaires du CASPN et de son dirigeant Monsieur Adrien DOURSAT.

4. La filiation frauduleuse et le détournement illicite du compte Instagram.

5. L’imitation servile du logo et des éléments de communication distinctifs et originaux dans les publications promotionnelles du club.

6. La vente d’articles de merchandising capitalisant sur l’image de marque du club de rugby.

7. La conclusion de partenariats commerciaux et publicitaires capitalisant sur l’image de marque du club de rugby.

8. Les actes parasitaires au profit personnel et indu de Monsieur Adrien DOURSAT et la société DOURSAT.

9. Les préjudices subis par Dominique EINHORN et EXPONENTIAL INC. du fait des actes de parasitisme.

Un choix dicté par des contraintes économiques. « Il aurait fallu refaire tous les jeux de maillots, expose le président. Cela aurait coûté 35 000 euros. Mais, honnêtement, je ne pense pas que ça aille bien loin. »

EINHORN poursuit : “Enfin un brin de franchise. M DOURSAT reconnaît, sans aucun regret, que non seulement il a subtilisé des jeux de maillots, mais qu’il a commis ce vol en toute connaissance de cause. Pire, cela démontre le caractère strictement intentionnel de l’appropriation puisque le président est allé jusqu’à établir un devis pour des nouveaux maillots. »

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« Se rendant compte qu’il serait trop cher d’investir 35 000 euros dans de nouveaux maillots, et par pur intérêt économique (les maillots étant « trop chers »), il a privilégié le vol plutôt que l’achat d’un matériel neuf. Mais le journaliste prend cette réponse au pied de la lettre, sans question complémentaire, comme s’il était tout à fait approprié et justifié d’agir de cette manière. »

« J’aimerais que les supporters qui soutiennent encore ce monsieur réfléchissent un peu », glisse Adrien Doursat.

Cette dernière déclaration de DOURSAT stupéfie EINHORN. « Nous avons affaire ici à un individu qui, sciemment ou non, enfreint de nombreuses lois, blâme la victime de ses plans diaboliques une fois qu’il est pris en flagrant délit, et ose ensuite solliciter le soutien du peuple contre ceux qu’il a trompés. Il est temps que cet individu soit jugé par un tribunal compétent ! »

La seule déclaration de DOURSAT avec laquelle EINHORN semble d’accord est la suivante : « Cela n’a ni queue ni tête, souffle Adrien Doursat. »

« Cela me rappelle une image assez symbolique de l’acteur américain, Robin Williams, souffle EINHORN. Et comme nous le savons tous, une image est bien plus parlante qu’un millier de mots. » : 

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Xavier Mercoux

Xavier Mercoux

Xavier MERCOUX, auteur depuis toujours, s’intéresse de près aux entreprises innovantes, au secteur financier, Wall Street et aux intérêts des actionnaires. Ses domaines de spécialisations, apporte des réflexions portant le plus souvent sur les innovations technologiques, les start-up ou encore les derniers développements dans la crypto.

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